mardi 28 août 2012

Anecdote # 2

Je suis à la fin de mon cours primaire.
Dans la cour un prétendant prétentieux fait la cour à ma voisine qui est belle comme le jour.
Le prétendant prétentieux prétend fumer mais n'est pas très crédible dans le rôle du dernier amant romantique.
Cupidon n'est pas au rendez-vous mais le neurone y est.
Armé d'un fusil à fléchette, il fait feu vers l'intrus allumé.
Dotée d'un regard incroyable (moi-même je n'y croyais pas) la dite fléchette est allée éteindre la cigarette du prétendant sans la lui arracher des mains.
Le plus incrédule, croyez-moi, n'était pas votre cher neurone.
Mais j'étais bien fier de faire rire ma voisine qui était si jolie.
J'aurais eu dix mille occasions de répéter cet exploit que je n'y serais jamais parvenu.

le neurone des bois

1 commentaire:

  1. "cours" primaire dans la cour de l'école....tu as fait des ravages ! Ah bin bravo Neurone. Ce n'est qu'un début, tu as de la graine de délinquant, j'ai hâte à l'anecdote 20 ou 21, ça promet!

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