Jour pénible.
Échec des derniers examens.
Traitement possible refusé par votre humble neurone.
Chimiothérapie relevée à un niveau qui ne trompe personne : le neurone ne peut tolérer une telle médication.
Heureusement, il reste les soins palliatifs.
La perspective de ne plus souffrir, ou du moins de souffrir un peu moins n'est pas pour me défriser.
le temps d'une paix
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